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carte du 6 ème arrondissement de Paris

 

6 ème arrondissement 

LUXEMBOURG

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Saint-Germain des-Prés

Saint germain
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Le quartier chic de Saint-Germain-des-Prés, berceau de l'élégance et du raffinement, déploie ses charmes avec une allure envoûtante. Entre les ruelles pavées, les façades élégantes et les enseignes lumineuses, une atmosphère envoûtante se dégage, mélange subtil de passé et de modernité. Les boutiques prestigieuses dévoilent des vitrines soigneusement orchestrées, attirant les flâneurs en quête d'élégance intemporelle. Les restaurants chics et intimistes invitent à des délices gastronomiques, où les saveurs se mêlent à l'art de vivre à la parisienne. Au détour des rues bordées de galeries d'art, des trésors artistiques se révèlent, invitant les âmes sensibles à une plongée dans le monde de la création. Non loin de là, le musée d'Orsay, gardien des chefs-d'œuvre impressionnistes, enchante les amateurs d'art du monde entier. Les bouquinistes, gardiens de l'écrit et du savoir, prennent place le long des berges de la Seine, offrant aux promeneurs des trésors littéraires d'une autre époque. Et sur le boulevard Saint-Germain, les cafés emblématiques, dont le Flore, se dressent comme des lieux de rencontres, où les esprits créatifs se sont autrefois réunis pour discuter, débattre et laisser leur empreinte dans l'histoire littéraire de la capitale. Dans ce quartier empreint de charme et de culture, l'âme de Saint-Germain-des-Prés continue de vibrer, rappelant la richesse de son passé et la vitalité de son présent.

ecole des beaux arts

 

 

l'École nationale supérieure des Beaux-Arts

 

Au cœur de la Ville Lumière se dresse l'École nationale supérieure des Beaux-Arts, un véritable temple de la créativité où les idées se frottent les unes aux autres dans une danse effrénée. À l'intérieur de ses murs majestueux, les artistes en herbe s'affairent avec ardeur, cherchant à maîtriser les pinceaux comme des magiciens en quête de leur propre potion enchantée. Les couloirs résonnent de murmures passionnés et de rires complices, tandis que les esquisses volent d'un chevalet à l'autre, créant un joyeux chaos artistique. Les professeurs, guident leurs élèves sur les sentiers tortueux de la création, leur soufflant des conseils aussi mystérieux qu'un vieux grimoire. Et lorsque le soleil caresse les toits de Paris, les étudiants s'échappent dans les cafés environnants, partageant leurs rêves et leurs frustrations autour d'un café fumant. L'École nationale supérieure des Beaux-Arts est bien plus qu'un simple établissement d'enseignement, c'est un monde à part où les folies artistiques sont encouragées et les conventions sont repoussées.

Quartier monnaie

 

Institut de France

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Institut de France

 

L'Institut de France, noble édifice chargé d'histoire, se dresse tel un gardien bienveillant au cœur de la capitale. Les colonnes majestueuses soutiennent un dôme imposant, rappelant les exploits intellectuels qui se sont déroulés en ces lieux. À l'intérieur, les salles feutrées abritent des bibliothèques immenses, des archives précieuses, et des esprits érudits qui se penchent sur des ouvrages séculaires. Dans les couloirs, le murmure des conversations animées résonne, tandis que les chercheurs, les académiciens et les passionnés échangent leurs connaissances et leurs idées. L'air est imprégné d'un parfum de savoir, mêlé à une légère pointe de poussière, témoignage des siècles d'études et de réflexions. L'Institut de France incarne un lieu où les esprits brillants se rencontrent, où les idées prennent vie, et où la connaissance est vénérée avec une solennité empreinte d'une quête incessante de vérité.

 

 

Cour de Rohan

cour de rohan
Cour de Rohan

 

La Cour de Rohan est bien plus qu'une simple cour, c'est un véritable havre de créativité et d'histoire. En franchissant ses portes, on pénètre dans un univers singulier où différentes époques et styles architecturaux se côtoient harmonieusement. La cour du Commerce Saint-André ou la rue du Jardinet nous guident vers cet espace hors du temps, à quelques pas du légendaire café Le Procope. Les immeubles Renaissance, les briques anciennes, les éléments insolites et la présence de la végétation créent une atmosphère unique. La cour de Rohan a été le refuge d'artistes renommés, tels que Balthus, qui y a établi son atelier dès 1936. Elle a également accueilli des personnalités influentes comme Georges Bataille, qui y organisait des fêtes légendaires rassemblant des intellectuels de renom tels que Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Michel Leiris et Raymond Queneau. Dans les années 70, l'artiste David Hockney y fit une halte avant de repartir vers la Californie. Des figures telles que la sculptrice américaine Sheila Hicks et le metteur en scène canadien Robert Carsen ont également élu domicile en ces lieux. Perpétuant cette tradition créative, la Fondation Alberto et Annette Giacometti a trouvé sa place dans l'hôtel particulier légué par Annette Giacometti, veuve de l'artiste, au numéro 3 de la cour. Ainsi, la Cour de Rohan se révèle comme un véritable creuset artistique, où le passé et le présent se rencontrent pour créer un lieu empreint de magie et d'inspiration.

jardin du Luxembourg

 

Le jardin du Luxembourg

Odéon

 

Au Jardin du Luxembourg, les mots se taisent et les fleurs se mettent à parler. Les roses, coquettes et parfumées, chuchotent des poèmes d'amour à l'oreille des promeneurs émerveillés. Les arbres, majestueux et sages, murmurent des histoires oubliées à travers leurs branches tourmentées. Les enfants, rieurs et insouciants, dansent avec les jeux de lumière sur la pelouse, créant des tableaux éphémères de bonheur. Les bancs, accueillants et usés par le temps, offrent leur épaule aux amoureux en quête d'un moment de tendresse. Au Jardin du Luxembourg, les heures s'étirent doucement, emportant avec elles les soucis du quotidien. C'est un refuge où le temps se suspend, où l'imagination se déploie, et où les rêves prennent leur envol.

saint sulpice

 

Église Saint-Sulpice

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Institut national du service public (auparavant ENA)

 

L'église Saint-Sulpice, véritable joyau architectural, témoigne de l'histoire mouvementée de sa construction. Son édification s'étend sur plusieurs siècles, laissant sa marque indélébile dans le paysage parisien. Les dimensions impressionnantes de l'église en font l'une des plus vastes de la capitale, offrant un espace grandiose propice à la contemplation et à la spiritualité. Cependant, l'église n'est pas sans ses particularités. Les deux tours, avec leur architecture distincte, racontent une histoire d'architectes aux visions divergentes. Les péripéties de leur construction, entre changements de concept et interruptions liées à l'histoire tourmentée de la Révolution, ont créé une tour nord achevée et une tour sud encore en attente de finitions depuis plus de deux siècles. C'est ainsi que l'église Saint-Sulpice conserve, dans sa beauté inachevée, une trace vivante de l'histoire mouvementée de l'architecture et de la volonté humaine.

Quartier notre dame des champs

 

L'École nationale d'administration (ENA), créée en 1945 et dissoute en 2021, est une ancienne grande école d'application française chargée d'assurer la sélection et la formation des hauts fonctionnaires de l'État français.  Le 8 avril 2021, le président de la République française, Emmanuel Macron, annonce la suppression de l'ENA, remplacée en 2022 par l'Institut national du service public (INSP) qui a pour deuxième mission d’assurer la formation initiale des élèves fonctionnaires issus de ses concours, en s’appuyant sur d’autres écoles de service public ou d’autres organismes de formation, notamment ministériels. 

L'objectif est de rénover la formation initiale des cadres supérieurs de l’État dans une logique de métiers, de compétences et de professionnalisation mais aussi de décloisonner l’administration en développant une culture commune de l'action publique

 

 

Institut d'art et d'archéologie

fac archeologie
quartier saint placide

 

En 1917, le couturier Jacques Doucet (1853-1929), collectionneur et mécène, fait don à l’Université de Paris de sa formidable collection de livres d’art de tous les temps et de tous les pays. L’Université de Paris lance un concours remporté par l’architecte normand Paul Bigot : une bibliothèque d’Art abritant la collection Doucet sera au cœur d’un nouveau bâtiment intégrant des salles de cours.

Achevé en 1927, l’édifice incarne le style historiciste; il est à contre courant des deux styles en vogue à cette époque, l’architecture moderne et l’Art déco. Le bâtiment s’organise autour d’une cour centrale. Le matériau utilisé peut sembler étonnant : la brique rouge de Vaugirard ou de Bourgogne utilisée dans sa plasticité est en effet peu habituelle dans le paysage parisien. Cette référence aux architectures siennoises et vénitiennes s’explique par la volonté d’offrir une chaude tonalité de fond aux rayons du soleil parisien. L’Afrique semble aussi avoir été une source d’inspiration : au niveau de la corniche, les petits édicules pointés vers le ciel rappellent l’architecture mauresque ou sub-saharienne.

Le détail le plus singulier du bâtiment est la frise archéologique traitée en bas-relief sur l’ensemble des façades. Cette frise est constituée de moulages en terre cuite de sculptures grecques, romaines, médiévales et Renaissance. Elle a été réalisée par la Manufacture de Sèvres.

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