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Carte du 7 ème arrondissement de Paris

 

7 ème arrondissement 

INVALIDES

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Musée Maillol

 

La Tour Eiffel

 

La Dame de fer, a fait couler beaucoup d’encre du haut de ses 324 mètres. Polémiques, débats, querelles ont animé ses débuts pour laisser place à l’admiration. En citations ou en chansons, que serait Paris sans elle?

  • Si on la renversait la tête en bas, les pieds en l’air?» Alphonse Allais (1854-1905), Le bec en l’air.

  • «Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin.» Guillaume Apollinaire (1880-1918), Alcools Poèmes 1898-1913.

  • «La tour Eiffel est comme une femme nue, sans ses habits, avec tout au plus du maquillage.» Olivier Delahaye, Le Ventre lisse.

  • "Regard, objet, symbole, la Tour est tout ce que l’homme met en elle, et ce tout est infini. Spectacle regardé et regardant, édifice inutile et irremplaçable, monde familier et symbole héroïque, témoin d’un siècle et monument toujours neuf, objet inimitable et sans cesse reproduit, elle est le signe pur, ouvert à tous les temps, à toutes les images et à tous les sens, la métaphore sans frein ; à travers la Tour, les hommes exercent cette grande fonction de l’imaginaire, qui leur est liberté, puisque aucune histoire, si sombre soit-elle, n’a jamais pu leur enlever." Roland Barthes, La Tour Eiffel, 1964

tour eiffel
Quartier Gros caillou

 

Les feux  d'artifices du 14 juillet. Tour Eiffel

 

 

Monument des Droits de l'Homme 

 

Le monument des Droits de l’Homme, commandé par la Ville de Paris en 1989 pour commémorer le bicentenaire de la Révolution française, se dresse discrètement dans une allée latérale du Champ de Mars. Il semble presque oublié, négligé par les regards des passants qui se demandent pourquoi il a été érigé à cet endroit précis. Son architecture austère et son apparence froide n'incitent guère à s'y attarder. Cependant, ce bloc de béton renferme, pour ceux qui connaissent ses secrets, bien des mystères gravés sur ses quatre murs. Il suscite la curiosité des initiés, attirés par les messages cryptiques qui y sont dissimulés. Le monument des Droits de l'Homme, bien qu'ignoré par la plupart, révèle un véritable labyrinthe de symboles et de réflexions sur la liberté et la justice, offrant ainsi une expérience unique à ceux qui s'y aventurent.

feux d'artifices
Monument aux droits de l'homme 
Musée branly

 

Le musée du Quai Branly - Jacques Chirac

 

Le musée du Quai Branly - Jacques Chirac, niché au pied de la majestueuse tour Eiffel, est un lieu qui émerveille les amateurs d'arts et de cultures du monde entier. Autrefois connu sous un nom à rallonge qui semblait vouloir englober tous les continents, le musée a été rebaptisé en l'honneur de l'ancien président français. Et quel écrin il offre à sa collection de près de 300 000 œuvres ! L'architecte Jean Nouvel a su relever le défi en créant un édifice audacieux, mêlant modernité et élégance, où chaque objet exposé trouve sa place dans une mise en scène artistique. Préparez-vous à un voyage à travers les arts et les civilisations, à la découverte d'un héritage culturel d'une richesse infinie.

 

Le musée Rodin

 

Le musée Rodin, véritable sanctuaire dédié à l'art du grand sculpteur, est logé dans un somptueux hôtel particulier du XVIIIème siècle. C'est ici, dans ces murs chargés d'histoire, que Rodin a choisi de résider durant ses dernières années. Sa vision était claire : léguer son incroyable œuvre à l'État français et en faire profiter le public. Ainsi naquit le musée Rodin en 1919, un lieu magique où les chefs-d'œuvre du maître, tels que Le Penseur et Le Baiser, trouvent une place de choix. La visite du musée est un véritable voyage dans le processus créatif de l'artiste, avec des plâtres révélant l'évolution de ses œuvres. De manière chronologique et thématique, le parcours met en lumière les trésors personnels de Rodin, comme ses photographies et ses antiques. Le musée réserve également des surprises émouvantes, notamment avec les œuvres de Camille Claudel, muse et amante du sculpteur visionnaire. Une expérience artistique enivrante qui nous plonge dans l'univers intime de l'immense Rodin.

Quartier invalides
Musée rodin
Les invalides

 

Hôtel des Invalides

L'Hôtel des Invalides, tel un monument dédié à l'héroïsme et au devoir, se dresse fièrement depuis sa construction en 1671. Sous l'impulsion de Louis XIV, cette imposante structure fut érigée pour venir en aide aux soldats invalides, privés de ressources après avoir vaillamment combattu pour la France. Conçu par les talents conjugués de Libéral Bruant, Jules Hardouin-Mansart et Robert de Cotte, cet édifice prestigieux demeure l'un des joyaux architecturaux de Paris. Bien qu'il soit aujourd'hui occupé par divers organismes relevant de différents ministères, l'Hôtel des Invalides conserve toujours sa fonction première d'hôpital-hospice pour les vaillants combattants blessés ou mutilés au service de leur pays. En son sein, le musée de l'Armée, le musée des Plans-Reliefs et le musée de l'Ordre de la Libération se côtoient, offrant aux visiteurs une plongée fascinante dans l'histoire militaire. Les deux églises, l'Église du Dôme, où repose le tombeau de Napoléon Ier, et l'Église Saint-Louis des Invalides, ajoutent une touche de solennité à cet ensemble majestueux. Au fil du temps, l'Hôtel des Invalides a été restauré et embelli, redonnant tout son éclat à ce site exceptionnel grâce à un vaste programme lancé en 1981 sous l'égide d'une commission interministérielle. Ainsi, cette forteresse empreinte d'histoire offre aujourd'hui au regard du public toute sa splendeur retrouvée, témoignant de la grandeur et du courage de ceux qui ont défendu vaillamment notre nation.

 

Les pensionnaires des Invalides

 

Carnet de route de Jacques Bravo & Francois Pédron

​​Il s’agit bien d’un carnet de route car nous avons découvert un monde inconnu de nous, donc des millions de français qui passent devant le site architectural sans se douter de la richesse humaine qu’il abrite. 

Ce projet clairement identifié s’est révélé encore plus passionnant que prévu. Depuis deux mois nous nous sommes approchés avec circonspection et respect et notre vision s’est modifiée : il y a tant à dire et à montrer, par l’image et les mots.

 Nous avons été accueillis avec la plus grande loyauté et petit à petit, au fil des rendez-vous, notre statut a changé spontanément. Le médecin général nous présentait d’abord comme des « journalistes », puis les réalisateurs d’un livre, ces derniers jours quand il nous précédait dans une chambre, il nous annonçait : « ce sont des amis ».Ce qui donne tout son sens au travail entrepris. Impossible de rester non pas indifférent, mais simplement distant. Nous sommes désormais impliqués dans ces pages de l’histoire de l’homme. Des hommes de bonne volonté, ils le sont tous comme ce merveilleux Phillip Jackson dont le père était volontaire dès 1915, résistant en 1942, déporté, mort sous les yeux de son fils. Mort pour la France et la plus belle des idées de Liberté. Comme Jacques Beaugé qui s’est sacrifié à El Alamein pour sauver ses compagnons de lutte. Qui plaide pour une vie justifiée par une foi invincible, alors qu’il est aveugle et privé de ses deux mains depuis plus de soixante ans. Il est devenu une référence dans le monde entier. Comme Madeleine Aylmer-Roubenne, compagne de camp de Geneviève de Gaulle, animée de la même énergie. . Et ce sont aussi ces femmes extraordinaires qui viennent chaque jour près d’un mari qu’elles dorlotent, comme Mme Mazier présente chaque après midi depuis trente ans. Chaque pensionnaire, ‘invité’ comme le dit en souriant le très subtil Victor Altabert, est un fragment essentiel de notre histoire. Ce dont nous avons envie de témoigner –chaque jour davantage- puisque nous avons le privilège de les approcher .C’est un regard qui n’aura plus d‘objet dans quelques années. Le temps du souvenir n’attendra pas.

Pour avoir le récit complet sur ces pensionnaires des Invalides:

 https://www.jacquesbravo.com/hymne-a-la-vie

pensionnaires des invalides

 

Les nouvelles berges de la Seine du 7ème

musée Maillol

 

Musée Maillol

 

Les nouvelles berges de la Seine du 7ème arrondissement sont un véritable havre de paix en plein cœur de Paris. Jadis réservées à la circulation automobile, ces berges ont été réaménagées pour le plus grand bonheur des promeneurs et des flâneurs. Désormais, c'est un espace convivial et animé qui s'étend le long de la Seine, offrant une vue imprenable sur les magnifiques quais et les monuments emblématiques de la capitale. Les berges sont parsemées de jardins soigneusement entretenus, de bancs accueillants où il fait bon s'asseoir et de cafés animés où l'on peut déguster un bon café tout en admirant le ballet des bateaux. Les amateurs de sport ne sont pas en reste, car de nombreux espaces sont dédiés à la pratique d'activités physiques, que ce soit la course à pied, le vélo ou encore le yoga en plein air. Les nouvelles berges de la Seine  sont un  lieu de vie où se mêlent détente, culture et joie de vivre, offrant une parenthèse enchantée dans le tourbillon parisien.

berges de la seine rive gauche

Le musée Maillol, niché dans les rues enchevêtrées de Paris, est une ode à la beauté sculpturale du XXe siècle. Comme une symphonie de formes et de matières, les œuvres de Maillol s'élèvent, dévoilant la puissance de l'expression humaine figée dans le marbre et le bronze. Chaque sculpture, façonnée avec une délicatesse exquise, semble capturer l'éphémère élan de la vie, immortalisant des corps en mouvement ou des visages empreints d'une émotion saisissante. Au sein de ces salles, le temps se dérobe, laissant place à un dialogue silencieux entre le spectateur et l'artiste disparu. C'est là que se déploie l'éternelle présence de Maillol, tel un rhapsode sculpteur qui nous révèle les profondeurs de l'âme humaine à travers ses créations immuables. De la froideur du marbre surgit la chaleur d'une humanité captivante, qui nous touche au plus profond de notre être, nous rappelant que l'art est l'écho intemporel de notre condition humaine. Le musée Maillol, écrin de poésie sculptée, s'offre à nous tel un voyage initiatique au cœur de l'essence de l'art et de la destinée humaine.

quartier st thomas d'aquin

 

 

Chapelle Notre-Dame-de-la-Médaille-Miraculeuse

Chapelle notre dame de la medaille miraculeuse

 

Dans le top 10 des lieux les plus visités de Paris figure la chapelle Notre-Dame-de-la-Médaille-Miraculeuse ! Dans cette petite chapelle discrète, nichée au cœur du 7ème arrondissement de Paris, se trouve un trésor insoupçonné. La Chapelle Notre-Dame-de-la-Médaille-Miraculeuse est un havre de paix où les fidèles se rassemblent, cherchant réconfort et espoir. Les murs défraîchis, témoins d'innombrables prières murmurées, racontent des histoires de miracles et d'attentes exaucées. Les bougies vacillent doucement, illuminant les visages émus des croyants qui déposent leurs fardeaux aux pieds de la Vierge Marie. On y trouve une ambiance intime, loin des artifices et des ostentations. Ici, les miracles ne se mesurent pas en grandeur, mais en simplicité et en authenticité. Chacun y vient avec sa médaille miraculeuse, son chapelet usé par le temps, cherchant un peu de réconfort dans les silences partagés. Dans ce lieu empreint de spiritualité, Jacques Prévert aurait sans doute trouvé matière à écrire de poétiques réflexions sur la foi et l'humilité, sur la capacité des hommes à trouver de l'espoir dans les moments les plus sombres. 

 

Avec Madeleine,"Tous les détails comptent"

Devant l'entrée du collège des ingénieurs, qui évoque étrangement l'atmosphère envoûtante de Poudlard, cette célèbre école de sorcellerie, Madeleine se prend d'intérêt pour une devise gravée en latin sur la façade. L'étudiant fraîchement arrivé, l'ignorant, nous renvoie à la devise de l'établissement, qui a autrefois compté Elisabeth Borne, notre premier ministre, parmi ses élèves, qui est la suivante : "Qui agit intellegit" - "Qui agit comprend". Une maxime énigmatique qui résonne tel un sortilège, incitant chacun à entreprendre pour mieux comprendre. Dans la passionnante quête de Madeleine pour les détails, un talent inné nourri par son travail auprès de visiteurs déficients visuels qu'elle accompagne, elle se révèle experte dans l'art subtil de décrire formes et couleurs à ceux privés de la vue, peignant des images mentales. Dans le quartier de la Rue du Bac, où les élégantes façades et les ornements architecturaux abondent, Madeleine traque chaque détail d'architecture. À travers cette rue, c'est tout le savoir-faire français qui se dévoile : les délices du chocolat, l'élégance des chaussures, la préciosité de la joaillerie, et la finesse de la décoration intérieure. Cheminant avec elle, les visiteurs sont immergés dans l'essence même de l'art français, tissée de raffinement et d'élégance. Plus loin, nous parvenons devant un hôtel particulier, une demeure chargée d'histoire où Chateaubriand a jadis résidé. L'homme qui tient une boutique d’antiquités à côté, à l'air aussi fascinant que ses trésors, nous susurre discrètement à l'oreille que cette majestueuse demeure est désormais la propriété de l'un des hommes les plus riches au monde, François Pinault. Dans sa boutique, une sorte de cabinet de curiosités dirigé par le talentueux Pierre Farman, petit-fils du fameux Dick Farman, l'aviateur aux records innombrables, révèle des trésors hors du commun. On y découvre des objets étonnants: des hélices, des moteurs d'avions soigneusement désossés puis retravaillés, polis, magnifiés, presque sculptés, tant ils émanent d'une beauté radicale. Ces métamorphoses les transfigurent en véritables œuvres d'art. Parmi elles, notre regard est irrémédiablement captivé par l'une de ces pièces d'exception. Est-elle l'œuvre du célèbre Brancusi ? Notre errance prend fin dans la cour de la Chapelle Notre-Dame-de-la-Médaille-Miraculeuse, une enclave paisible, discrète, pourtant parmi les dix lieux les plus fréquentés de Paris. Une quinzaine de religieuses, tout juste arrivées de Guadeloupe, s'immobilisent dans un recueillement plein de mystère. Leurs visages empreints de sérénité trahissent l'attention toute particulière qu'elles accorderont à cette Visitation, ce moment privilégié de communion avec l'ineffable. ​ ​

 

Musée d'Orsay

Malgré son jeune âge, le Musée d'Orsay porte en lui une histoire bien plus ancienne. Le lieu n'a pas échappé aux vicissitudes du temps et remonte bien au-delà de sa fondation : palais, gare, entrepôt ou encore salle des ventes... Depuis 1810, il a connu bien d'autres destins que celui d'un simple lieu d'exposition ! Érigé en l'espace de 28 ans sous Napoléon Ier, le Palais d'Orsay avait pour vocation première d'abriter le Conseil d'État et la Cour des comptes. Il remplira cette fonction pendant une trentaine d'années, mais connaîtra un sort funeste en 1871 : en plein cœur de la Commune de Paris, le bâtiment est incendié par des insurgés. Cet incendie sera d'ailleurs dépeint par Zola dans La Débâcle comme "le plus immense, le plus énorme et le plus effroyable". Ce premier palais, ravagé, ne sera pas reconstruit et demeurera en ruines pendant près de trente ans. C'est alors qu'en 1977, l'idée germe de transformer ce lieu chargé d'histoire en un musée dédié à l'art du XIXe et du début du XXe siècle. Une véritable métamorphose s'opère, sous la houlette de l'architecte Gae Aulenti, pour donner naissance au Musée d'Orsay tel que nous le connaissons aujourd'hui. Le Musée d'Orsay est bien plus qu'un simple musée. C'est un voyage à travers le temps, un lieu où se mêlent l'élégance de l'architecture, la beauté des œuvres exposées et l'émotion qui se dégage de chaque salle. Des chefs-d'œuvre de Monet, Renoir, Van Gogh, Degas et tant d'autres y trouvent leur écrin. Les visiteurs déambulent entre les toiles, s'arrêtant devant les sculptures, s'imprégnant de l'atmosphère artistique qui règne en ces lieux.

MADELEINE- RUE DU BAC
musée d'orsay

 

La taxidermie à la maison Deyrolle

 

L'humble façade brune de la maison Deyrolle, rue du Bac, cache l'un des trésors les plus étranges de Paris, une vaste collection d'animaux empaillés, d'insectes conservés et de papillons empalés qui tient plus du cabinet de curiosités que du magasin. Deyrolle, qui a ouvert ses portes à cette adresse en 1888, était autrefois un pôle d'attraction pour les surréalistes en quête de sensations fortes, tels qu'André Breton et Salvador Dalí, et ses volées d'oiseaux exotiques, ses troupeaux de grands félins immobiles et ses rangées de papillons aux allures de bijoux continuent de jeter un sort fascinant sur les visiteurs et les clients.

 

le bon marché

 

Le Bon Marché

 

Intérieur du Bon Marché pendant les fêtes de Noël

maison deyrolles

 

L'hôtel Lutétia

 

Construit en 1910 à l'initiative de Madame Boucicaut, propriétaire du Bon Marché « afin que ses importants clients de province fussent logés dans un établissement tout proche et correspondant à leur train de vie, quand ils venaient faire leurs courses à Paris », l'hôtel Lutetia est un hôtel Art nouveau comportant l'un des premiers bars de style Art déco, dont une fresque champêtre est réalisée par Adrien Karbowsky. Sa proximité avec l'Assemblée nationale et le Sénat le conduisent aussi à être prisé des parlementaires de province et des fonctionnaires coloniauxde passage à Paris.

Quartier ecole militaire
ecole militaire

 

École militaire & Statue équestre du maréchal Joffre

 

Au bout du parc du Champ-de-Mars, on arrive devant l’impressionnante façade de l’École militaire, édifiée sous le règne de Louis XV. Elle regroupe aujourd’hui les organismes de l’enseignement militaire supérieur, et se visite à l’occasion des Journées du patrimoine.La réalisation de L'Ecole Militaire est due à l'architecte Ange Jacques Gabriel (1698-1782) édifié entre 1751 et 1768 dans la plaine de Grenelle sous le règne de Louis XV. L'entrée principale se trouve avenue de la Motte piquet, face au Champ de Mars la Tour Eiffel se trouvant à l'autre extrémité. Le roi Louis XIV demande en 1751 à Ange-Jacques Gabriel, de dessiner les plans d'un édifice plus vaste et plus grandiose que l'Hôtel des Invalides, déjà construit par Louis XIV.

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