8 ème arrondissement
ÉLYSÉE
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Saint-Philippe du Roule
Les Champs-Élysées
La Flamme de la Nation
sous l'Arc de Triomphe
L’éternité, c’est celle de notre société, c’est pourquoi la Flamme est devenue la Flamme de la nation. Le tissu originel des anciens combattants est réduit comme une peau de chagrin. Le dernier poilu étant mort. Les coupes sombres de la Seconde Guerre mondiale sont encore douloureuses, mais les vainqueurs d’avril 1945 rejoindront inexorablement les anciens. Blessures certes ravivées par les conflits des théâtres d’opérations extérieures, d’Algérie, du Tchad, d’Afghanistan, du Mali.
Depuis près de 90 ans la flamme du souvenir brûle sous l'Arc de Triomphe rendant hommage, sur la tombe du soldat inconnu, à tous ceux qui sont tombés pour que vive la France. Tous les soirs, même pendant les heures noires de l'Occupation, la flamme a été ravivée.
En période de Corona, malgré le confinement, la flamme a toujours été ravivée en petit comité.
L’éternité, c’est celle de notre société, c’est pourquoi la Flamme est devenue la Flamme de la nation. Le tissu originel des anciens combattants est réduit comme une peau de chagrin. Le dernier poilu étant mort. Les coupes sombres de la Seconde Guerre mondiale sont encore douloureuses, mais les vainqueurs d’avril 1945 rejoindront inexorablement les anciens. Blessures certes ravivées par les conflits des théâtres d’opérations extérieures, d’Algérie, du Tchad, d’Afghanistan, du Mali.
Le 28 janvier 1921, , le cercueil du soldat inconnu porté par huit sous-officiers décorés de la médaille militaire est déposé dans sa tombe définitive. La « dalle sacrée est scellée » sur l’inconnu. Le silence envahit le lieu désert… La tombe est oubliée. L’inscription est quasi illisible. Pendant deux ans. Jusqu’à ce que le journaliste Gabriel Boissy trouve la solution. Il écrit : « Je voudrais que l’on vît sur cette tombe brûler une flamme vivante, un feu qui soit la palpitation, la présence de son âme, qui brûle comme un perpétuel souvenir de chacun d’entre nous, du pays tout entier. » Le 11 novembre 1923, André Maginot allume la Flamme sacrée. L’association "La Flamme sous l’Arc de Triomphe" est déclarée le 16 octobre 1930. Les membres sont aussi anonymes que, toujours, bénévoles.
Les Champs-Elysées se mettent au vert
Citroen Champs-Elysees Showroom
les Champs-Elysées qui se mettent au vert pour présenter la production agricole, l’élevage et la forêt française. Sur les pavés, le jardin. Des arbres, des fleurs, des légumes et des vaches, tout au long de l’avenue des Champs-Elysées. Parisiens épatés et touristes ahuris ont déambulé pendant deux jours dans un décor végétal posé sur l’asphalte.
Le 31 décembre 2017, après exactement dix années de loyaux services et un succès incroyable
(10 millions de visiteurs), le C42, le navire amiral de la marque au chevron baissait le rideau. En cause officiellement, une nouvelle politique commerciale vouée à favoriser la multiplication des mini-espaces d’exposition au détriment des « vastes » showrooms. Reste le souvenir de la magie du lieu qui a enchanté petits et grands.
Noël sur les Champs-Élysées
Sur les Champs-Élysées
Le Petit-Palais sur les Champs-Élysées
Le Petit Palais vu des toits du Grand Palais.
Le marché aux timbres sur les Champs-Élysées
Le Petit Palais est un monument historique de Paris, aujourd'hui utilisé comme musée des beaux-arts, qui fut construit à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1900 par l'architecte Charles Girault.
Le Petit Palais est organisé autour d'un jardin semi-circulaire.
Le marché aux timbres
Le marché aux timbres
Le marché aux timbres
Le marché aux timbres
Le marché aux timbres de Paris est une véritable caverne d'Ali Baba pour tous les amateurs de timbres, quel que soit leur budget. Il est situé à l'angle des avenues Marigny et Gabriel, près de la station de métro Champs Elysées. Il est ouvert le jeudi, le samedi, le dimanche et les jours fériés toute la journée de 9h à 19h. Après l'émission du premier timbre français en 1849, la philatélie s'est rapidement développée. En 1860, à Paris, de jeunes écoliers qui collectionnaient les timbres commencèrent à se réunir dans les jardins du Palais-Royal pour les échanger. La bourse aux timbres était née. Mais comme ces grands rassemblements attiraient des éléments indésirables, la bourse fut interdite en 1864. En 1887, un riche collectionneur de timbres-poste légua le terrain du Carré Marigny à la Ville de Paris à condition qu'elle autorise l'installation d'une bourse aux timbres en plein air.
Le Grand-Palais sur les Champs-Élysées
Le Grand Palais est situé en bordure des Champs-Élysées, face au Petit Palais. Ses 77000 m² abritent régulièrement salons et expositions prestigieuses.
Le «Grand Palais des Beaux-Arts» est édifié à Paris à partir de 1897, pour l'Exposition universelle prévue du 15 avril au 12 novembre 1900, en lieu et place du vaste mais inconfortable Palais de l'Industrie de 1855. «Monument consacré par la République à la gloire de l’art français», comme l'indique l'un de ses frontons, sa vocation originelle consiste à accueillir les grandes manifestations artistiques officielles de la capitale.
Le grand et petit Palais vus du dôme des Invalides
Le grand et petit Palais vus du dôme des Invalides
La Seine et le Grand Palais
Le grand et petit Palais vus du dôme des Invalides
Le coq du palais de l'Élysée
L’association du coq et de la France est née d’un jeu de mot : le mot latin gallus signifie à la fois « gaulois » et « coq ». C’est pourquoi sa silhouette apparaît dès l'Antiquité sur les monnaies gauloises.
Après une éclipse au Moyen-Âge, le symbole du coq français renaît en Allemagne au XIVe siècle. Dès la Renaissance, l’animal s’immisce dans les représentations du roi de France.
Sa popularité croît à partir de la Révolution française, au point qu’il figure sur le sceau du Directoire, et qu’une commission de conseillers d'État propose à Napoléon Ier de l’adopter comme symbole national. L’Empereur refuse en ces termes : « Le coq n'a point de force, il ne peut être l'image d'un empire tel que la France. »
Le coq retrouve son prestige politique le 30 juillet 1830, lorsqu’une ordonnance stipule qu’il doit figurer sur les boutons d'habit de la garde nationale et surmonter ses drapeaux. La Seconde République le figure sur son sceau, gravé sur le gouvernail que tient la liberté assise.
Place de la Concorde
Les Champs-Élysées
de l'Obélisque de la Place de la Concorde à l'Arc de Triomphe
Le ciel se pare des couleurs du drapeau français
Le 15 février 1794, la Convention décide par décret que "le pavillon et le drapeau de la nation seront formés des trois couleurs nationales disposées en trois bandes égales de manière à ce que le bleu soit attaché à la garde du pavillon, le blanc au milieu et le rouge flottant au vent".
L'ordre des couleurs symbolise la victoire du peuple sur la monarchie. Les lignes verticales permettent de se distinguer du pavillon hollandais. C'est la marine, qui a imposé, cette verticalité.
Avenue Montaigne
Église de la Madeleine.
Le Parc Monceau
Les petites chroniques parisiennes
Au centre du parc Monceau, j’attendais qu’une silhouette humaine donne l’échelle à cet arbre remarquable.
Doucement, une jeune femme passa, suivit, je l’apprenais quelques secondes plus tard, par sa mère qui m’accosta gentiment, me demandant pourquoi j’avais photographié sa fille.
J’argumentais la belle allure et l’arbre majestueux.
Tout en gardant un oeil sur sa fille qui s’éloignait, elle me confia que celle-ci faisait sa première promenade après une sortie d’hôpital suite à une tentative désespérée.
J’étais médusé par cette conversation intime avec une inconnue.
Quand je vis l’image agrandie, dans la justesse d’une situation hasardeuse, son geste malheureux dont elle était libérée maintenant s’exposait.!
Musée Nissim de Camondo
Dans un magnifique hôtel particulier inspiré du Petit Trianon de Versailles, ce musée exceptionnel abrite la collection de meubles et d’objets d’art décoratifs du comte de Camondo.
En 1869, deux frères italiens juifs d’origine turque – Abraham Behor et Nissim de Camondo – ouvrent leur propre banque à Paris. Leurs fils, Isaac et Moïse, deviennent de grands collectionneurs d’art bien connus dans la capitale : Moïse se passionne particulièrement pour le 18ème siècle français et constitue une collection unique d’objets et de meubles décoratifs rares de cette époque. Pour abriter ses trésors, il fait même construire en 1912 une splendide demeure.
Mais la Première Guerre mondiale éclate, et son fils – qui s’appelait Nissim comme son grand-père – décède dans un combat aérien… En son souvenir, Moïse de Camondo décide de léguer l’hôtel et ses œuvres au Musée des Arts décoratifs de Paris à la condition que les collections soient montrées telles qu’il l’avait voulu. Malheureusement c’était sans compter sur la Seconde Guerre mondiale et les nazis qui spolient les biens des juifs ! Les collections doivent être évacuées et mises à l’abri au Château de Valencay dans le Berry…
Elles seront sauvées, mais pas les descendants de Moïse de Camondo, qui sont alors déportés. Le musée rouvre en 1990 grâce à un mécénat international : chargée d’Histoire, sa visite est émouvante et nous plonge dans l’univers du comte comme s’il était toujours là. Elle permet aussi de découvrir des œuvres extraordinaires de beauté et de finesse, qui ont traversé le temps comme de véritables survivantes !
Cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky
Cette église orthodoxe de style néo-byzantin, consacrée en 1861, lui est dédiée. Elle verra des années plus tard le mariage de Pablo Picasso et d’une danseuse russe avec comme témoins Jean Cocteau, Max Jacob et Guillaume Apollinaire. Saint-Alexandre-Nevsky est classée aux monuments historiques depuis 1983.
La Pagode - Maison Loo
Gare Saint-Lazare
En plein cœur de la plaine Monceau , quartier de Paris qui compte sans aucun doute le plus grand nombre d’hôtels particuliers au m², se trouve un immeuble aussi étonnant qu’insolite : La Maison Loo, une pagode chinoise.
Arrivé en 1902 à Paris, Ching Tsai Loo est un marchand d’art à la réussite fulgurante. Il rachète un hôtel particulier construit en 1880, de style Français classique, pour y exercer son activité à quelques pas du Parc Monceau. M. Loo a de la chance, il n’était pas demandé aux propriétaires de permis de construire à cette époque. Une aubaine pour qui souhaite ajouter un peu de fantaisie à son quotidien…
L’architecte Fernand Bloch est alors chargé de transformer ce bâtiment du 19e siècle en une somptueuse pagode d’inspiration chinoise. L’hôtel particulier est surélevé de 2 étages, le toit est reconstruit, et la totalité du bâtiment peinte en rouge.
Musée Jacquemart-André
Le Musée Jacquemart-André présente la plus belle collection privée d’œuvres d’art de Paris, associée à l’atmosphère d’une grande demeure du 19e siècle.
Ce magnifique hôtel particulier né de la passion des époux Édouard André et Nélie Jacquemart, ainsi que leur éblouissante collection composée, en particulier, d’œuvres majeures des grands maîtres de la peinture flamande, de ceux de la peinture française du XVIIIème siècle ou encore des plus prestigieux artistes de la Renaissance italienne.
Église Saint-Augustin
La statue de Jeanne d'Arc devant l'église Saint-Augustin
La statue de Jeanne d'Arc devant l'église Saint-Augustin